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 Alistair - Sorry, I gotta go.

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Alistair - Sorry, I gotta go. _
MessageSujet: Alistair - Sorry, I gotta go.   Alistair - Sorry, I gotta go. Icon_minitimeSam 21 Mai - 8:55

Alistair Garrett Macnolan


ϟ SURNOM(S) : Al, Aly, Macnolan.
ϟ AGE : Vingt-deux ans.
ϟ DATE DE NAISSANCE : Le huit février 1989.
ϟ LIEU DE NAISSANCE : Dublin.
ϟ ORIGINE(S) : Irlandais à cent pourcents.
ϟ STATUT CIVIL : Célibataire.
ϟ ORIENTATION SEXUELLE : Hétérosexuel.
ϟ MÉTIER/ÉTUDES : Dernière année de commerce international.
ϟ GROUPE : « On my own' ».

inventé scénario




- attachant
- généreux
- protecteur
- sociable
- impatient
- collant
- introverti
- serieux

QU'EST CE QUE TU FAIS A BÂTON-ROUGE EN FAIT ? Bâton Rouge est un endroit comme un autre. Aussi, j’y fais ce que pas mal de jeunes de vingt-deux ans font : j’essaie de décrocher un diplôme universitaire. Héhé, je sais ce que vous vous demandez : il y a des universités aussi en Irlande, alors pourquoi ai-je quitté ma terre natale pour venir m’enterrer en Louisiane ? Je suppose que j’avais envie de changer d’air… Pourquoi ? Désolé, on ne se connait pas encore assez pour que je vous parle de ça.

ET AVEC TES AMIS ? T'ES PLUTÔT DU GENRE SOLITAIRE OU PLUTÔT BIEN ENTOURÉ ? Même si mon groupe d’amis est très restreint, je dirais que je suis bien entouré. Très bien même. Pour moi, en amitié comme en toute chose, c’est la qualité, et non pas la quantité, qui prime. Et je peux vous assurer que, niveau qualité, mes potes sont ce qu’on fait de mieux. Entre nous, pas de coup foireux : on se fait confiance, on se respecte, et on fait passer notre amitié avant tout.
Je ne suis pas du genre solitaire. Et oui : malgré ma timidité et mon côté un peu réservé, je suis quelqu’un de sociable et j’ai terriblement besoin des autres. En fait, ce sont ceux qui m’entourent qui me rendent heureux.


C'EST QUOI TON RÊVE ? LA CHOSE QUE TU VOUDRAIS RÉALISER A TOUT PRIX ? ET TON PIRE CAUCHEMAR ? J’aimerais voyager, voir du pays, aller à la rencontre de nouvelles cultures. Faire un road trip avec mes amis ou partir faire le tour du monde en sac à dos, ce serait ça mon plus grand rêve. Mais je sais qu’il ne se réalisera jamais : je suis bien trop attaché à mon environnement pour le quitter et mener une vie sans attache pendant un ou deux ans. Mais c’est ça aussi les rêves : ils rendent notre vie plus douce même si on sait pertinemment qu’ils ne deviendront jamais réalité.
Mon pire cauchemar ? Vieillir. Oui, je sais : c’est assez débile d’avoir peur de l’inévitable. Mais c’est comme ça. Je suis parcouru de frissons à chaque fois que je croise des personnes âgées. Leur corps est devenu si faible qu’ils ont du mal à se mouvoir. Ils sont seuls. Tout ce qu’ils leur reste, ce sont leurs souvenirs qui leur échappent peu à peu. Je trouve ça terrifiant.


C'EST QUI TA PLUS GRANDE IDOLE, LA PERSONNE QUE T'ADMIRE LE PLUS, CELLE A LAQUELLE TU VEUX RESSEMBLER ? ET LA PERSONNE QUE TU DÉTESTE LE PLUS, CELLE A LAQUELLE TU VEUX SURTOUT PAS ÊTRE COMPARÉ ? Je vais faire simple : mon grand frère est mon héro. A mes yeux, il est la perfection, celui qui incarne tout ce que j’aimerais être. Mon frère, c’est l’archétype du mec bien dans sa peau, qui fait ce qu’il veut quand il veut parce qu’il part du principe que, dans la vie, il ne faut jamais se forcer, et encore moins hésiter, parce que c’est comme ça qu’on est rongé par les regrets plus tard. Mon frère, c’est le genre de mec sur qui les filles se retournent parce qu’il a un corps d’Apollon et que la réussite suinte par tous les pores de sa peau. Mon frère, personne ne lui arrivera jamais à la cheville, il nous dépasse tous de part son intelligence et sa générosité. C’est lui mon idole, et je n’aspire qu’à une chose : pouvoir un jour lui ressembler.
Vous voyez tous ces gens autour de nous ? Ceux qui ont le regard vide ? Ceux qui trainent les pieds en allant travailler parce qu’ils font un métier qu’ils détestent ? Je refuse catégoriquement de devenir comme eux. Moi, je veux être heureux et je vais tout faire pour y arriver.


POUR TOI, C'EST QUOI LA SOIRÉE IDÉAL ? A mon sens, une soirée idéale peut se passer n’importe où. Dans un terrain vague, un pub, chez un pote où même en boîte de nuit : ça n’a aucune importance. Ce qui est important, ce sont les gens qui sont à cette soirée. Il faut qu’il y ai à la fois des amis proches, de simples connaissances et quelques inconnus, parce que pour moi les soirées les plus réussies sont celles qui vous font découvrir – ou redécouvrir – les gens. Et, enfin, il faut bien sûr qu’il y ai suffisamment à boire et à fumer pour tout le monde, du moins juste assez pour délier les langues et décoincer un peu les gens introvertis comme moi, sans pour autant que tout le monde finissent la tête dans la cuvette des wc.

PENDANT QU'ON PARLE D'IDÉAL, DÉCRIS NOUS UN PEU A QUOI RESSEMBLE L'HOMME OU LA FEMME DE TA VIE. La femme de ma vie ? Ce sera celle qui me fera rire à en pleurer comme ça, sans aucun problème. Ses petites manies et les bizarreries de sa personnalité m’attendriront et, à mes yeux, elle sera parfaite. Je l’aimerais tellement qu’un seul de ses regards suffira à me faire me sentir vivant et sûr de moi, et le simple fait qu’elle soit heureuse suffira à mon bonheur.
Je suppose que vous me prenez pour un romantique ? Un grand naïf qui n’y connaît rien et qui prend ses rêves pour une réalité ? Et bien laissez moi vous dire que vous êtes complètement à côté de la plaque. Parce que cette femme existe, je l’ai même déjà trouvée. Mais bon, continuez de croire ce que vous voulez, je m’en fou.


POUR FINIR, RACONTE NOUS QUELQUE CHOSE QUI T'AS MARQUÉ, UNE ANECDOTE DE TA VIE QUE TU N'OUBLIERAS JAMAIS. Je me souviens de mon passage au collège. Ma grand-mère maternelle venait de mourir, laissant derrière un important héritage dont ma mère était l’ayant-cause universel. Aussi, puisqu’ils en avaient dorénavant les moyens, mes parents avaient décidé de m’inscrire dans le privé. J’allais donc me retrouver dans un nouvel établissement où je ne connaissais absolument personne, et ça m’angoissait au plus haut point.
Quand le jour J arriva, j’étais complétement tétanisé : je n’étais pas du même monde que ces enfants, et je me préparais psychologiquement à être traité comme un pestiféré. J’étais seul dans mon coin quand Adam est venu vers moi. Il m’a parlé, il m’a mis à l’aise, il m’a présenté ses amis. Il a fait de cette journée que je redoutais tant un super moment en m’offrant son amitié. Une amitié qui a duré jusqu’à notre dernière année de lycée. Une amitié qui me manque…





Quoi ? Vous voulez que je vous raconte ma vie, vraiment ? Humf. Vous savez, elle est tout à fait banale et il n’y a pas de quoi en faire tout une histoire. Et puis je n’aime pas trop parler de moi... Pourquoi vous ne demandez pas à ce type là bas ? On ne fait pas plus égocentrique, alors je suis sûr qu’il serait absolument ravi de pouvoir vous conter sa merveilleuse existence bien en détail.
Vous insistez ? Bon. Vous l’aurez voulue. Ne venez pas vous plaindre lorsque vous serez morts d’ennui : je vous aurez prévenu.

Je m’appel Alistair Garrett Macnolan et, si ma vie n’a rien de passionnant, c’est parce qu’aussi loin que je me souvienne, j’ai toujours était l’éternel second. Vous voyez Batman ? Et bien moi je suis Robin, l’ami fidèle du héro, celui qui le soutient et qui l’accompagne dans toutes ses aventures mais qui n’est jamais sous les feux des projecteurs. Vous ne me croyez pas ? Laissez-moi vous expliquer. Depuis tout petit, je vis dans l’ombre de mon grand frère. Oh, rassurez vous, c’est loin de me déranger : j’adore Graham, il est mon modèle sur terre. Mais du coup j’ai été formaté depuis ma plus tendre enfance pour être celui qui est béat d’admiration, et non pas celui qui est admiré. C’est un mode de vie comme un autre, on parvient très bien à s’y faire. Et puis franchement : je pense que Batman se ferait chier s’il n’y avait pas Robin à ses côté.
Je dois avouer que ma nature introvertie et relativement sérieuse y est aussi pour quelque chose. Dans les films, les héros sont toujours des beaux gosses qui n’ont peur de rien, jamais des mecs réservés qui n’ont pas particulièrement confiance en eux : jamais des mecs comme moi, quoi.

Je ne suis pas roux, je ne m’appel pas Patrick, je déteste le vert et je ne suis pas un gros buveur de bière. Pourtant vous avez devant vous un authentique irlandais qui aime son pays à la folie.
J’ai passé les dix-huit premières années de ma vie à Dublin, au sein du cocon familial. J’ai été nourri, logé et blanchi par mes parents, mais c’est mon grand frère qui m’a élevé alors qu’il n’a que six ans de plus que moi. Oh, je vous vois venir : « Mon Dieu, quels parents indignes ! ». Aussi, je vous préviens tout de suite : je ne suis pas quelqu’un de violent, mais je promets de vous arracher la langue si vous osez redire une chose pareille. Si mes parents ont été absents, obligeant ainsi Graham à faire une croix sur son enfance, c’est parce qu’ils ont sacrifié leur vie de famille – et même leur vie de couple – pour que mon frère et moi-même n’ayons jamais à manquer de rien. En fait, nous faisions partie des D4, la classe moyenne de Dublin. Aussi la vie n’était pas toujours facile pour nous et mes parents avaient parfois du mal à « joindre les deux bouts » comme on dit. Ma mère est infirmière et mon père pompier : ce sont déjà des métiers prenants et fatigants à la base, alors quand en plus vous êtes contraints de faire des heures supplémentaires pour subvenir aux besoins de votre famille, vous êtes tout simplement extenué. Il était dont normal que Graham fasse ce qu’il peut pour soulager un peu nos parents, et la chose la plus simple à faire était de s’occuper de moi. C’est mon grand frère qui venait me chercher à l’école, qui me m’aidait pour mes devoirs, qui m’emmenait chez le médecin, tout ça au détriment de sa propre scolarité. C’est lui qui me préparait mon goûté, qui me donnait le cheque pour la cantine et qui signait les mots dans mon carnet de correspondance. Les professeurs de mon école publique ne s’intéressant absolument pas à leurs élèves, c’est lui qui a remarqué que je souffrais de dyslexie et qui a convaincu nos parents de me payer des séances d’orthophonie, séances auxquelles il m’a bien sûr amené. Vous comprenez maintenant quand je vous dis que mon grand frère est mon héro ?
Les choses se sont arrangées – du moins financièrement – lors de mon entrée au collège. Ma grand-mère venait de mourir, laissant derrière elle un héritage confortable qui nous était destiné dans son intégralité. C’en était fini des heures supplémentaires. Terminé l’école publique et les enseignants incompétents. Quant à mon grand frère, il pouvait enfin se comporter comme un adolescent normal. Heureux de pouvoir enfin penser à lui, Graham arrêta les études avant même d’avoir terminé le secondaire et parti pour la Louisiane – plus précisément à Bâton Rouge – pour essayer de vivre de sa passion : la musique. De leurs côté, nos parents avaient perdu l’habitude de se côtoyer et d’avoir du temps l’un pour l’autre. Ils avaient évolué chacun de leur côté pendant toutes ces années et il fallait qu’ils réapprennent à se connaître. Mais les sentiments n’étaient plus là et ils divorcèrent l’année suivante… Et moi dans tout ça me direz-vous ? J’étais à la fois très affecté par le départ de mon frère et heureux qu’il puisse enfin vivre sa vie sans avoir à jouer au papa et à la maman de substitution. Quand au divorce, je préférais ne pas m’en mêler. Après tous les sacrifices que nos parents avaient fait pour nous, la moindre des choses était que je sois un minimum compréhensif.
Graham et moi sommes restés très proches malgré la distance, gardant le contact par mail et par téléphone. Il me parlait de Bâton Rouge et de la vie qu’il y menait. Il avait l’air épanoui. Il m’expliquait que c’était tout simplement génial de pouvoir faire ce qu’il lui plaisait. Moi je lui parlais des cours et de mes nouveaux amis, surtout d’Adam, celui qui m’avais permis de réussir à m’intégrer dans un collège de fils à papa, mais j’évitais toujours le sujet des parents : je ne voulais pas qu’il s’inquiète.
Après le divorce tout a changé : je vivais dorénavant une semaine avec ma mère, celle d’après avec mon père, etc. Avoir deux chambres, fêter noël et les anniversaires en double, être en permanence en train de faire mes valises, diner en tête à tête avec un seul de mes parent, vivre dans des appartements minuscules et silencieux : c’était tout simplement l’horreur. Alors je passais de plus en plus de temps dehors, repoussant au maximum le moment ou je devrais rentrer chez l’un ou l’autre de mes géniteurs. Mais dans un sens j’étais heureux : je pouvais passer encore plus de temps avec Adam, mon meilleur ami et mon nouveau héro. Parce que c’est comme ça que je fonctionne : mon frère vivant à présent sur un autre continent, il me fallait quelqu’un d’autre à admirer.
Pendant toutes mes années d’étude dans le secondaire, collège et lycée confondu, je n’ai jamais quitté Adam. J’étais toujours fourré avec lui et, par extension, avec Anitha. C’est bizarre que des personnes comme eux, des jeunes un peu barrés en constante recherche d’adrénaline, aient accepté quelqu’un d’aussi rationnel et sérieux que moi à leurs côtés. Je suppose que c’est parce que nos caractères se complétaient : j’étais un peu la « conscience » du groupe, celui qui mettait le holà quand ils allaient trop loin.
J’ai toujours ressenti quelque chose de particulier pour Anitha, et ça m’a fait mal quand elle s’est mise en couple avec Adam. Mais je n’ai rien dit. Je n’ai rien fait non plus. J’ai continué de traîner en permanence avec eux malgré la douleur qui m’envahissait à chaque fois que je les voyais avoir un geste tendre l’un pour l’autre parce que l’amitié d’Adam était ce qu’il y avait de plus important pour moi à cette époque, et je refuser catégoriquement de la gâcher. Et puis c’était évident que ces deux là étaient faits l’un pour l’autre, alors je ne pouvais que me résigner à intérioriser mes sentiments.

Il parait qu’il y a un drame dans toutes les histoires, la mienne ne fait pas exception à la règle.
Adam aimait le risque, je dirais même qu’il en avait besoin pour se sentir bien. Mais là il allait trop loin… J’ai essayé de le convaincre de renoncer à sa nouvelle lubie. Pour une fois Anitha s’était même ralliée à ma cause. Mais il n’en faisait qu’à sa tête. Une course de voiture, un duel de vitesse, la promesse d’une monté d’adrénaline comme il les aimait tant : voilà ce qu’Adam voulait à tout prix.
On était quatre dans la voiture. Adam au volant, Anitha sur le siège passager, un ami et moi à l’arrière.
Je me souviens du sourire presque dément de mon meilleur ami lorsqu’il faisait brailler le moteur du véhicule. Je me souviens de le peur qui me tordait le ventre. Je me souviens du geste instinctif que j’ai eu : entourer Anitha de mon bras droit, comme si je redoutais le pire et que je voulais la protéger. Je me souviens d’avoir eu la sensation que mon cœur s’arrêtait de battre quand j’ai vu cette voiture surgir sur notre droite, cette même voiture qui nous percuta de plein fouet quelques fractions de seconde plus tard. Je me souviens du bruit du métal qui se pli et des os qui se brisent.
Adam est mort ce jour là. Il avait seulement dix-huit ans.
Lorsqu’il a appris la sombre nouvelle, Graham a pris le premier avion pour Dublin : il s’avait que j’avais besoin de lui. Il savait aussi ce qu’il se passait dans ma tête : je culpabilisais à m’en rendre malade. J’aurais dû persévérer, trouver les bons mots pour convaincre Adam de renoncer à ce jeu stupide. C’était moi son meilleur ami. C’était mon rôle de le raisonner.
Pour faire mon deuil j’avais besoin de changer d’air, c’était indéniable. Alors Graham m’a proposé quelque chose : je terminais ma dernière année de lycée – encore quelques mois à tirer – et, si je décrochais mon diplôme, je partais avec lui à Bâton Rouge pour étudier à la Southern University et commencer une nouvelle vie. J’ai donc quitté mon Irlande natale, et ce pour la toute première fois, sans donner de véritables explications à mon entourage. « C’est une bonne université », voilà plus ou moins à quoi se résumait mon argumentation.

Ça fait maintenant quatre ans que je vis à Bâton Rouge et je dois dire que je m’y plais assez. J’ai récupéré l’appartement de mon frère lorsqu’il est partit ouvrir sa propre maison de disque à Londres, et j’ai appris à vivre seul. Je retourne à Dublin une à deux fois par an, pour les fêtes de familles mais, même si j’adore cette ville, je m’y sens toujours un peu oppressé : le souvenir de l’accident y est encore omniprésent. Je me suis fais des amis, mais je dois avouer que pas un n’arrive à la cheville d’Adam. Ni à celle d’Anitha…
Anitha. Je crois qu’elle m’en veut. Il faut dire que la logique aurait voulut que je reste avec elle après le drame, qu’on traverse cette épreuve ensemble. Mais j’avais besoin de partir, je pense que c’était vital pour moi. J’espère que j’aurais un jour la chance de pouvoir le lui expliquer…





ϟ PSEUDO/PRÉNOM : Berliose.
ϟ AGE : Dix-huit ans.
ϟ OU AS-TU CONNU LE FORUM : Grace au partenariat avec The time of our lives.
ϟ FRÉQUENCE DE CONNEXION : Deux-trois fois par semaine.
ϟ DOUBLE COMPTE : Non.
ϟ AVATAR : Cory Monteith.
ϟ AUTRE CHOSE : Bonjour tout le monde =D!
ϟ CRÉDITS : Avatar © Berliose ; Icon © Sulky







Dernière édition par Alistair G. Macnolan le Dim 22 Mai - 15:33, édité 27 fois
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Anitha Z. Fitzgerald

Anitha Z. Fitzgerald
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→ date d'arrivé : 15/03/2011
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→ âge : 21 ans
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→ métier : etudiante
Alistair - Sorry, I gotta go. 855700lea2



Anyway
→ libre pour un rp ?: toujours !
→ à savoir:
Alistair - Sorry, I gotta go. _
MessageSujet: Re: Alistair - Sorry, I gotta go.   Alistair - Sorry, I gotta go. Icon_minitimeSam 21 Mai - 11:57

:8: :10: :18: :19:
BIENVENUE ! et merci d'avoir prit mon scenario (Finnchel :17: ) , bonne continuation pour ta fiche et si tu as la moindre question, n'hésite pas !!! ma boite mp aime être inondée :1:
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Kyrian B. Fitzgerald

Kyrian B. Fitzgerald
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→ date d'arrivé : 19/03/2011
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→ métier : agent de police


Alistair - Sorry, I gotta go. _
MessageSujet: Re: Alistair - Sorry, I gotta go.   Alistair - Sorry, I gotta go. Icon_minitimeSam 21 Mai - 14:58

    bienvenue sur le forum et bon courage pour la suite de ta fiche. :1:


Dernière édition par Kyrian B. Fitzgerald le Dim 22 Mai - 17:02, édité 1 fois
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Benjamin C. Livingston

Benjamin C. Livingston
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→ date d'arrivé : 06/05/2011
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→ avatar : Nico Tortorella
Alistair - Sorry, I gotta go. 378839116948nicot



Anyway
→ libre pour un rp ?: Bien sûr
→ à savoir:
Alistair - Sorry, I gotta go. _
MessageSujet: Re: Alistair - Sorry, I gotta go.   Alistair - Sorry, I gotta go. Icon_minitimeSam 21 Mai - 16:52

    Bienvenu sur BTW ! :10:
    Bon courage pour ta fiche et j'espère que tu te plairas parmi nous :50:
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Alistair - Sorry, I gotta go. _
MessageSujet: Re: Alistair - Sorry, I gotta go.   Alistair - Sorry, I gotta go. Icon_minitimeSam 21 Mai - 17:06


Merci vous trois =D.
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Alyx J. Burdsley-Sayers

Alyx J. Burdsley-Sayers
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→ date d'arrivé : 22/03/2011
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→ avatar : nina dobrev ♥
→ métier : uc


Alistair - Sorry, I gotta go. _
MessageSujet: Re: Alistair - Sorry, I gotta go.   Alistair - Sorry, I gotta go. Icon_minitimeSam 21 Mai - 21:40

Cory :9:
réserve moi un lien !

et bienvenue :43:
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Alistair - Sorry, I gotta go. _
MessageSujet: Re: Alistair - Sorry, I gotta go.   Alistair - Sorry, I gotta go. Icon_minitimeDim 22 Mai - 8:49


Merci ♥
Han, comment résister à Nina ? Bien sûr que je te réserve un lien =).
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Alistair - Sorry, I gotta go. _
MessageSujet: Re: Alistair - Sorry, I gotta go.   Alistair - Sorry, I gotta go. Icon_minitimeDim 22 Mai - 14:35


Désolée du double post, mais je pense avoir enfin terminé =).
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Kyrian B. Fitzgerald

Kyrian B. Fitzgerald
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Alistair - Sorry, I gotta go. _
MessageSujet: Re: Alistair - Sorry, I gotta go.   Alistair - Sorry, I gotta go. Icon_minitimeDim 22 Mai - 17:02

    Je te valide !
    Amuses toi bien sur BTW :1:
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Alistair - Sorry, I gotta go. _
MessageSujet: Re: Alistair - Sorry, I gotta go.   Alistair - Sorry, I gotta go. Icon_minitime

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Alistair - Sorry, I gotta go.

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